mardi 18 février 2014

Mange moi avant que je te mange



Il y a de ses mondes que l'on aimerait en aucun cas découvrir, ses mondes déchirés par les erreurs du passés ou ses survivants tente de s'acclimater a l'ambiance morbide des contrées arides bercé par la chaleur nucléaire.

Ce monde hostile, certains hommes ont réussis a le dresser et à se faire aux nouvelles immondices apparu au fil des années. Jadis un homme, maintenant une goule, jadis une hyène, maintenant un monstre, leurs survies tient essentiellement a leur compatibilité et degrés de contamination.

Un étrange phénomène qui a fait se rassembler cette monstrueuse faune et ses goules tourmentés, afin de s'épauler tout deux dans une bien vaine quête qu'étant d'arpenter ses terres -berceau de la mort- a la recherche d'âme purs.

Les goules chevaucheuses de mort, c'est ainsi qu'on les prénommes, des entités occulte ayant survécu a la catastrophes nucléaire via divers art sombre qui leur permet de supporter cette maladie qui ronge leur peau en chaque instant. Elles sont trop faible pour marcher, courir, ou encore chasser, étant trop affaiblit par ce mal nucléaire qui les rends ainsi dépendant de leur monture. La chevauché de ses énormes tas de chairs semble sortir de vos plus doux cauchemars les plus inconscient, devenus les guides pervertie de ses cavaliers.

Alors que l'un se nourrit essentiellement de l'âme de ses victimes, l'autre ne peut manger la chair seulement qu'après que l'esprit ai disparus. Ses horreurs aux pattes exagérément imposantes ont perdu cette capacité de voir et de sentir ses âmes fraîches, contrairement a son cavalier, qui lui n'existe que pour ses dernières. Aveuglé par sa soif de sang, le cavalier à l'âme pervertie satisfait son monstre pour ne pas être dévoré. Néanmoins, aveuglés par sa soif de sang, ses horreurs meurent d'autant plus rapidement si personne n'était la pour les guider. Il n'était pas rare de retrouver l'estomac de monstre sans cavalier divers bout de roche, du sable, ou encore des branches mangé aveuglement dans un ultime élan de survie.

Une complicité et un compromis des plus cruelle, mais nécessaire dans ce monde.

Manger ou être mangé, le choix est vite fait, même si cela implique de jouer avec le feu.

samedi 12 octobre 2013

dimanche 22 septembre 2013

Une vieille image qu'il me fallait un jour montrer quand même, le Dessin est de David Besette et la colo' de moi !


Quelques exos, histoires de !